Objectif : Au regard du fait que dans certaines zones, il existe un « risque de disponibilité insuffisante de professionnels de santé habilités à réaliser l’examen de détection du SARS-CoV-2 inscrit à la nomenclature des actes de biologie médicale pour faire face à la crise sanitaire » (…), « il y a lieu d’autoriser les étudiants ayant validé leur première année en masso-kinésithérapie, à réaliser le prélèvement d’échantillons biologiques nécessaires à l’examen de détection du virus du SARS-CoV-2 et à réaliser les tests rapides d’orientation diagnostique antigéniques nasopharyngés pour la détection du SARS-CoV-2 sous la responsabilité d’un médecin, d’un chirurgien-dentiste, d’une sage-femme, d’un pharmacien, d’un infirmier ou d’un masseur-kinésithérapeute« .
« Considérant qu’il y a lieu pour renforcer le contrôle et la surveillance de la circulation du virus du SARS-CoV-2 au sein de la population de diversifier la politique de tests et de rendre plus efficaces les mesures d’identification des contacts de personnes infectées ; que la mise en œuvre de ces orientations ne peut reposer sur les seules personnes actuellement autorisées à y contribuer et qu’il y a lieu en conséquence de permettre à des personnes dûment formées de participer aux opérations de tests, à la délivrance de messages de prévention et d’accompagnement sanitaire et à la collecte d’informations relatives aux contacts de personnes infectées ».
« Considérant que l’organisation d’opérations de dépistage collectif à l’initiative du représentant de l’Etat lui-même ainsi que celles organisées au sein d’établissements de santé ou d’établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, qui sont liées au risque particulier d’exposition au virus des personnels et personnes qu’ils accueillent et en lien direct avec leur activité, peuvent être dispensées de l’obligation de déclaration préalable au représentant de l’Etat ».
Objectif : Un enseignement spécifique est mis en place pour les médiateurs de lutte anti-Covid-19
Objectif : « Modalités de distribution, de prescription, de dispensation et d’administration des vaccins (…). « A cette fin, il importe que les vaccins soient directement classés sur la liste des médicaments à prescription médicale obligatoire et livrables dans les établissements de santé et médico-sociaux, que les pharmacies à usage intérieur puissent fournir les vaccins aux EPHAD dépourvus de telles pharmacies, que les pharmaciens d’office soient autorisées à délivrer des doses de vaccins destinées à plusieurs patients et que tous les professionnels de santé et étudiants en santé dont les qualifications comprennent la vaccination soient impliqués dans la campagne de vaccination ».
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